François Légaré, Gérard Chaliand
Maison d’édition Athéna
Résumé: Les États-Unis n’ont pas vu venir les attaques du 11 septembre, malgré qu’ils soient le pays qui dépense le plus d’argent pour lutter contre le terrorisme. Pourtant, ces attentats n’étaient-ils pas plus probables qu’une attaque nucléaire, biologique ou chimique de même ampleur? «Les attentats du 11 septembre représentent une opération d’une simplicité étonnante par rapport à l’ampleur des résultats obtenus.» «Ben Laden et les hauts dirigeants islamistes gravitant autour de lui désiraient, dans un geste ultime, forcer les États-Unis et leurs alliés à les attaquer ouvertement. Dans ce contexte, l’appel au Djihad devient possible et permet aux islamistes radicaux, outre la rhétorique religieuse, d’enclencher un processus de polarisation du monde musulman envers les Américains et le reste de l’Occident.» Extraits de la postface.